Tu es chagrine
Un peu friponne
Je m'étonne
Je ne suis rien
Tu me chagrines
Je suis sot
Pale dévot
Tu m'illumines
Tu bavardes
très coquine
Des dessous pour ta nuit
Je me tais par dépit
Tu crois au bonheur
Idée de malheur
Je rêve à ton coeur
Doux pour mes peurs
Tu te coiffes le matin
En nuisette
Coquin je mets des lunettes
Sans tain
Tu bois ton café
Sur mon canapé
Offense intime
A mes déprimes
Je t'aime tu sais
Non point répond l'écho
Encore trop tôt
Alors je me taie
Suis un pauvre oreiller.
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Bonsoir Papy ,<br />
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Il n'est rien de plus beau que d'avoir un doux confident<br />
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celui-ci de douceurs entendra tous les secrets ,même si<br />
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la belle est indifferente , distante et...friponne !<br />
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Je vous embrasse<br />
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J'aime beaucoup votre poème, mais dites-moi Claude, s'agit-il bien de quatre oreillers sur la photo? Et au centre, de quoi s'agit-il? Je suis bigrement curieuse.<br />
Je vous embrasse,<br />
Ophélie<br />
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Merci ma belle O.<br />
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Votre oeil aiguisé de belle blonde a bien vu quatre oreillers;l'ustentile du milieu est àl'appréciation quant à son<br />
usage!<br />
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Bon dimanche,je vous embrasse sur la joue gauche<br />
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Claude<br />
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J
jill bill
14/04/2012 18:41
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Bonsoir Monsieur ! Un oreiller qui sait recevoir sur son canapé, parole de taie ! Merci pour le café.... Bizzz jill <br />