si tu n'aimes pas les mots,je suis tes maux .Si tu aimes la philosophie,sache que l'or est né du Néant
J'ai vécu, je suis mort. -Les yeux ouverts, je coule Dans l'incommensurable abîme, sans rien voir, Lent comme une agonie et lourd comme une foule. Inerte, blême, au fond d'un lugubre entonnoir Je descends d'heure en heure et d'année en année, A travers...
Lire la suiteMe voila Dans le zen Musique bouddhiste Les lacs L'eau Les oiseaux Et autres fleurettes Qui me comptent Calmement Que le broma C'est du vent Mes somnifères Un placebo Mes femmes Un vieux rêve Mes hommes Une idée Philosophique Un nuage blanc Me canabise...
Lire la suiteVotre Majesté Elisabeth II Sanctifie Une guitare Bourrée Texane Ville du centre Tu nais Ivre De cordes A pincer Blues Cafard Spleen Une cellule Ingurgite Des espoirs Tu jouis Délivrance Des cons Sifflotant Malher Sous une douche Castorama Achetée pour...
Lire la suiteDeux mains Quatre mamelons Pudiques Abordant Délicatement Une valse Rose Brune Des sentiments voilés Cachés A la pudeur Voilée De sages pensées Voulues Par la niaiserie Coruscante Femmes Aux corps Lascifs Voluptueux Soupirs Soies Des caresses Notables...
Lire la suiteCheveux effilés Raides D'une inquiétude Triste Profondeur Des yeux Cernés Du noir fusain Peignant Le cri Le gris somnole Adorant L'écrin d'un cou Imaginaire Un coeur évadé D'une feuille Dévoilée Au jour Inquiet Dépose Une pensée Rêveuse Harmonieuse Sur...
Lire la suiteJ'ai vu les grands esprits de ma génération détruits par la folie, affamés hystériques nus se traînant à l'aube dans les rues nègres à la recherche d'une furieuse piqûre, initiés à tête d'ange brûlant pour la liaison céleste ancienne avec la dynamo étoilée...
Lire la suiteSi les ondines et les fées, Maintenant ainsi qu’autrefois Sur une coquille de noix Naviguaient, de corail coiffées, Et si j’étais, - car nous aimons Suivre parfois d’étranges rêves, - Un des minuscules démons Rois de la mer bleue et des grèves, Je ne...
Lire la suiteUn Rod Venu De nulle part Artiste Des mots Déploie Sa gorge Excitant Le klaxon De la 142 rue Ginsberg Approuve Kerouac Éructe Je tape Mes mains Tremblantes Sur mon clavier Ridé Parcheminé De Maux Insupportables Aux lectures De femmes Vénales Glauques...
Lire la suiteLe grondement Ténébreux D'un orage Abruti Résonne Dans ma tête Malade Des bruits Sournois Avec ou sans toi Je zèbre Tes lèvres Touches de piano Roses Dans mes délires Profonds J'agrémente Le rire gras D'un voisin Musicalement Extraverti Travesti En Pierrot...
Lire la suiteJe suis trés émue de vous dire que j'ai bien compris l'autre soir que vous aviez toujours une envie folle de me faire danser. Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit là une preuve que je puisse être aimée par vous. Je suis...
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