si tu n'aimes pas les mots,je suis tes maux .Si tu aimes la philosophie,sache que l'or est né du Néant
Par papyanar
La glace glauque
La vitre sale
Les baies ignorées
Les peintures cloquées
Ou non dénudées
Des pastels de mon cœur
Tu parais Belle
Assisse ignorant
Le décor des trois unités
Préférant délicatement offrir
Ta nudité précieuse aux lueurs
Pales de ces jours peureux
Ou les poètes griffent
Rageusement un papier
Vélin gras de mots
Doux et sages
Aveux d'amoureux
Que de d’écrire
Mes émois sans toi
Tu fuis cette buée
Chaque matin
Mon cœur en arrêt
Attend ta couche
rêve à ta bouche
Pauvres rimes
Sais-tu seulement aimer
Les maux des scribes
Sans une esquive
Offre moi tes lèvres.
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