si tu n'aimes pas les mots,je suis tes maux .Si tu aimes la philosophie,sache que l'or est né du Néant
Que la beauté vous sublime, En cet Art délicieux d’un œil Sage d’une photo ravie, D’être a nue,sans une entrave, Sur une page blanche, A la pureté impudique.
Lire la suiteUne envie de caresses Aux contours de ses fesses S'est bien vite enhardie D'un plaisir consenti.... , Faut-il de l'humain,travestir les mauvais desseins,ignorer la miséricorde Et donner a la femme,ineffable beauté les mots divins,sans une honte, Que le...
Lire la suiteElle était pute; Moi, Marin des hautes mers; Elle aimait la flûte; Moi, mon chalut; Elle me prit la main; Question de destin; Je lui écrivis, des mots salins; Au hasard des marées; Nous nous aimâmes; Le cœur dans l’âme; La rime fut riche; Moi, dévêtu...
Lire la suiteElle était femme,jolie, Un peu usée de la vie; Mari,enfants,créances Un vieil amour au cœur Toujours brûlant; Pour un escogriffe de banlieue; Attaché a son blanc limé Par ses bretelles Et aux culs des femmes Par sa vision éthylique, Elle l'avait aimé...
Lire la suiteElle me dit : viens ! Je la suivis, Rue des Saints, Elle montât chez elle, Rue intemporelle, Elle m’invitât à la dévêtir Chambre deux, Nous étions deux, Nue, elle pleurait, Nu, j’écrivais ! Nous étions un quatorze juillet Le soleil devait briller, Elle...
Lire la suiteLa feuille blanche Les mots ne volent pas Les larmes coulent Les cils s’éteignent Maman. Mon cœur stoppe net Je meurs de toi; Pour les compliments Si bien brosses Par d'autres inconnus Ou connus Calligraphie superbe Dessins doux Pour la Sainte Que tu...
Lire la suiteEt toi, tu te dissimulais comme une épée dans la déroute Toute brillante d’amour, tu fascinais l’univers ignorant. Je t’ai saisie et depuis, ivre de larmes, Je baise partout pour toi l’espace abandonné. Paul Eluard
Lire la suiteTu fous quoi; Les cuisses croisées Tu caches une empreinte Indélébile d'un vieil amour Con comme un abat-jour Tu finasses, lis, réfléchis Tu geins, râles, ou jouis Pas même tu effaces Un emprunt de caresses À des mains Coquelicots fanés Fleurs désuètes...
Lire la suiteMadame,voilà qui me sied et point ne me courrouce, mais m'apaise! Faut-il qu’en un songe,dénué de sagesse,enfin,je caresse vos soieries, Simple et doux benêt,en la chose amoureuse.
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