si tu n'aimes pas les mots,je suis tes maux .Si tu aimes la philosophie,sache que l'or est né du Néant
L'absence Me foudroie Nocturne iridescence Source de joie Hymne Infécond A mes solstices Été triste Sables Mouillés Grèves Souillées Algues Rampantes Dénaturées Salins lointains Le vent fricote Avec ses belles nuées Perverses Mais rondes Taille enfantée...
Lire la suiteÉcoute Mon chant d'amour Silence de la nuit Mélodie sourde Hautbois ganté Mélopée ânonnant Tes douceurs Sur mon coeur Battant Doux tambour A nos étreintes éveillées Émerveillées sournoises Allégresses des caresses Données A ta harpe vierge De sons Écoute...
Lire la suiteComme dans l’aurore Ton feu me caresse, Printemps, bien-aimé ! Par mille félicités d’amour Se presse contre mon cœur De ta flamme éternelle La sensation sainte, Beauté infinie ! Comme je désire te saisir dans ces bras, Dans mes bras ! Ah ! contre ton...
Lire la suiteSublime évidence Tes yeux Couleurs apparentées A ces fleurs Pensées pliées sous Le vent Joues gonflées Pour un chaste baiser Aux merveilleuses Ritournelles Trouvées sous mon if Si prés de toi Tes yeux Mon enfance Ma délivrance Apogée de ma gloire Brillance...
Lire la suiteCe qu’il faut de nuit Au-dessus des arbres, Ce qu’il faut de fruits Aux tables de marbre, Ce qu’il faut d’obscur Pour que le sang batte, Ce qu’il faut de pur Au cœur écarlate, Ce qu’il faut de jour Sur la page blanche, Ce qu’il faut d’amour Au fond du...
Lire la suiteCouleur de toi Aquarelle de nous Estampes de vous Archet léger Soupirs passés Nuit rêveuse Regardée Corps empreint De pensées Semences suaves Jour fatal J'embaume ta toison Supplice délicieux Art rupestre A mes moeurs Je te croque Aux murs je te grave...
Lire la suiteHaut frais Léger printemps Aux épaules nacrées Avenantes Touchantes Touchées Monts ravissants Doux à gravir Salés dans les mains Sucrés aux lèvres Ruissellement Oriental Oasis Abandonné Cavaliers Chameliers Bleus sombres Yeux torrides Fixant un horizon...
Lire la suiteDe sa lune en parchemin, par un hybride sentier de lauriers et de cristal, Précieuse s'en vient jouer. De sa lune en parchemin Précieuse s'en vient jouer. A sa vue le vent se lève, car jamais il ne sommeille. Dis, laisse-moi relever ta robe pour voir...
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